Cidade com rosto de mulher: a trajetória do Movimento de Mulheres/Feminista em Natal (1978-1989)

Le travail a pour objectif de développer une analyse de ce que le mouvement féministe et des femmes à Natal dans la période de 1978 à 1989, période qui se justifie par la création du Centre de la Femme Natalense – CMN, jusqu’à la création du Groupe Autonome des Femmes – GAM. Il a été jugé importa...

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Detalhes bibliográficos
Autor principal: Sobreira, Janaína Porto
Outros Autores: Rocha, Raimundo Nonato Araújo da
Formato: Dissertação
Idioma:pt_BR
Publicado em: Brasil
Assuntos:
Endereço do item:https://repositorio.ufrn.br/jspui/handle/123456789/28427
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Descrição
Resumo:Le travail a pour objectif de développer une analyse de ce que le mouvement féministe et des femmes à Natal dans la période de 1978 à 1989, période qui se justifie par la création du Centre de la Femme Natalense – CMN, jusqu’à la création du Groupe Autonome des Femmes – GAM. Il a été jugé important de comprendre comment ces groupes se sont organisés dans la ville au sein d’un mouvement à deux fronts: celui des féministes et celui des femmes. Tous deux mettent en pratique des notions tantôt proches, tantôt lointaines dans la lutte de revendications pour des politiques publiques dans la ville sur au moins deux axes théoriques et méthodologiques : recherche d’équipements urbains dans les domaines du logement, santé, travail, sécurité et, de manière générale, dans la formulation de projets qui pourraient offrir un soutien dans la réalité des femmes en situation de vulnérabilité, et dans la recherche de droits qui tiendraient compte de l’autonomie des femmes dans le domaine des droits sexuels, génésiques, violence domestique, avortement, maternité, droits démocratiques, entre autres. Le rôle des mouvements sociaux urbains s’est révélé fructueux dans la recherche des relations entre la société civile et l’État. Sous la dictature civile militaire, ces groupes ont créé de nouvelles identités et ont réussi à s’insérer comme protagonistes à l’époque où les voies démocratiques étaient suspendues. C’est dans ce contexte que le mouvement féministe et féminin a donné un nouvel élan à l’agenda politique du pays. Les femmes commençaient à remettre en question les rôles traditionnels de leur vie en les poussant à se lancer dans des luttes antiautoritaires et pour des questions fondamentales de citoyenneté et de bien-être social. Les années 1980 ont été un champ d’initiatives de la part des féministes qui venaient des universités, mais ce fut aussi une période marquée par des luttes de femmes sur les bases populaires. Partant des hypothèses de l’historien Alessandro Portelli, auteur qui travaille avec le sens de la valorisation des subjectivités que les sujets ont vécues à certaines périodes, le travail s’est ancré dans la méthodologie de l’histoire orale comme possibilité de recherche historique valorisant les récits des militantes à Natal. L’analyse des objets a été rendue possible par l’archivage documentaire qui comprend: Entretiens avec 10 collaboratrices; travail de la sociologue Maria Rizolete Fernandes; statuts; lettres de principes; matières de journaux de circulation dans la ville; des données statistiques tirées de l’IBGE, de l’IPEA et de Semurb.